Le peuple des Marqués
"Mey nous mène jusqu'à la victoire et nous ouvre les portes de son paradis. L'honneur fait de nous de fiers chevaliers. Nous voici, les Marqués, le peuple des chevaliers de Mey."
Histoire[]
La naissance[]
Tout commença en 1200 avec Mey, un homme dont la folie naissante avait été l’étincelle allumant en lui le feu de la haine et le désir de vengeance, éléments qui le forgèrent au fil du temps et qui allèrent jusqu’à devenir les piliers de son règne. Un jour cependant, sa route croisa celle d’un homme détruit et perdu à tout jamais dans la folie et le désespoir à cause d’actes barbares dans son village, actes lui ayant fait perdre toute sa famille. Mey décida de lui tendre la main, et le nomma Zorana. Ce dernier s’était mis en tête de faire connaître Mey et d'établir sa vengeance. Il avait tout perdu, mais il était aux portes d'une nouvelle vie qui allait l'entraîner dans de grandes aventures. Ainsi, fier d’avoir été “sauvé” par Mey, il courut vers son village - ou tout du moins, vers ce qu'il en restait.
Le premier acte[]
Au village, Zorana ne trouva rien si ce n'est une épée sur le cadavre d’un soldat mort. Il la prit ; il fallait bien un début à tout. Il parti ensuite vers ville la plus proche, mais entendit des cris de détresse en chemin : “À l'assassin !”, qu'ils disaient. Etant un fier guerrier et armé de son épée, il s'enfonça dans la verdoyante forêt pour arriver en toute discrétion près des agresseurs ; il y avait trois hommes en train de persécuter un jeune marchand, armés de glaives en fer et équipés de cuir. Zorana s’avança alors vers l’homme le plus proche de lui, mais ce faisant, son pied fit craquer une brindille au sol. L'assassin, arme en main, se retourna donc vivement tout en effectuant un mouvement circulaire de son glaive. Par réflexe sûrement, le brave épéiste réussit à se baisser et à esquiver ainsi de justesse la lame de son adversaire, puis leva son épée pour venir trancher sa gorge. Les deux autres agresseurs, surpris par Zorana, sortirent leur épée tandis que ce dernier mettait la pointe de la sienne en avant pour sauter sur l'un des deux bandits restants, pris de court. Elle lui transperça le cœur. Il n'en restait plus qu’un, à présent. Le bandit effectua un coup de haut en bas pour tenter de trancher son adversaire, qui put parer cette attaque de justesse. Grâce à un réflexe ? Impossible, c'était comme si quelque chose ou quelqu’un lui avait insufflé le savoir du combat et la force comme innée qui coulait dans ses veines. Quoi qu'il en soit, Zorana repoussa brutalement la lame de son adversaire et lui trancha le bras gauche. Le pillard, en position de faiblesse, essaya alors de fuir. Le fier guerrier sentit à ce moment l'adrénaline monter en lui, faisant bouillir son sang et le poussant à se jeter sur l'homme comme un loup se jetterait sur sa proie affaiblie. Sa lame lui transperça la gorge et l'acheva.
Voici le début de l’histoire d’un des Nagadinoks. Elle est sans pitié et morbide, racontant la première fois que Mey se montra en tant que Dieu autoproclamé. Il avait déjà plusieurs centaines d'années à cette époque, mais il avait changé de nom et avait auparavant évité de se montrer. Il avait préparé son coup et attendait juste le bon moment pour commencer. Pour le clan, c'est la date de naissance de Mey et la date de naissance du premier Nagadinok.
Les actes suivants[]
Outlander fut le deuxième homme choisi par Mey pour le porter au-dessus des Dieux. Il m'avait trouvé pendant mon voyage. Puis vint le troisième et dernier Nagadinok, au nom inconnu. Au fil du temps et des batailles, notre groupe grandit et Mey prit de plus en plus d'ampleur. Puis, après un terrible affrontement contre plusieurs villages, nous gagnâmes enfin grâce aux personnes ayant donné corps et âme pour Mey. Alors, nous décidâmes de créer un peuple : nous, les Nagadinoks, venions de créer le peuple des Marqués.
Le premier village[]
Nous avons fondé le premier village des Marqués en 1242. Une grande colline verte nous a ouvert les bras, ainsi avons-nous choisi ce lieu pour nous installer. Le chef était Ragnok Rodelle. Au fil du temps, ce village grandit jusqu'à devenir un vrai château, et nous avons pu agrandir notre territoire.
Caractéristiques[]
Physiquement, les Marqués sont musclés et assez larges, mais peu agiles. Ils sont souvent dans des châteaux ou villages de Marqués, ou bien au grand air, et ce quelle que soit leur race (toutes sont d'ailleurs acceptées). Usuellement, ils parlent le Dragonik (une langue que tous ou presque connaissent et parlent couramment), mais ils parlent aussi d'autres langues plus communes. Par ailleurs, ils ont la manie de rouler les -s en fin de phrase.
Mentalement, on peut noter qu'ils ont une façon de penser bien à eux, ils sont assez particuliers sur ce plan. Depuis leur plus jeune âge, ils savent que mourir pour Mey est une chose remarquable et vivent pour leur honneur, honneur qui leur dicte leurs actes dès leur naissance. La douleur n'est que chose futile pour eux tant qu'ils ont le moyen de se battre, à tel point qu'à cause de ça, certains meurent de leurs blessures. Pour eux, la folie est un message de Mey indiquant que sa puissance augmente et que la bataille sera bonne.
Coutumes[]
Les Marqués sont élevés depuis le plus jeune âge dans la dure réalité, en sachant qu'ils peuvent mourir à tout moment et qu'ils ne doivent pas se laisser faire. Au cœur de leur éducation, il y a la guerre, et Mey. Mais ils apprennent aussi des choses plus communes et vont à l'école des Marqués.
(C'est la marque qu'ils ont sur le bras où ils portent leur arme, en noir)
Durant leur adolescence, ils suivent l'Appel du Guerrier, un programme ayant pour but de former tous futurs hommes et femmes le voulant, quelles que soient leur race. Ils sont formés à devenir des chevaliers ou mages pour l'armée des Marqués. Durant ces deux années obligatoires, qu'ils passeront sur le front, ils apprendront à chasser et à manipuler un grand panel d'armes, tandis que les mages s'entraîneront dans leur magie. Après ça, ils pourront rentrer dans l'armée ou faire ce qu'ils veulent de leur vie, et recevront également la marque. Celle-ci se trouve sur le bras avec lequel ils portent leur arme, et représente un dragon symbolisant Mey ainsi qu'un nid peignant sa folie et sa soif de vengeance. Le trait au milieu représente le chemin à suivre vers les portes du paradis de Mey, tandis que la flamme bleue et la flamme rouge symbolisent respectivement le fait de se battre pour un avenir meilleur et pour l'inverse.
Le mode de vie des Marqués et assez classique mis à part le fait qu'ils vivent selon leur propre code d'honneur et qu'ils se méfient de tout. Certains maîtrisent une magie ou plusieurs, mais d'autres non. Les Marqués ne sont pas sexistes : la personne qui domine dans le couple est la personne ayant le plus d'honneur, mais s'il se trouve que les deux amants sont au même niveau sur ce plan, c'est le grade qui tranche. En effet, si une des deux personnes du couple est née en dehors de la communauté des Marqués, alors le Marqué de naissance doit dominer. Cela dit, si le non-Marqué veut remettre en cause le dominant, ils doivent déterminer cela avec un combat amical.
Le Code d'honneur des Marqués[]
Le code d'honneur des Marqués est l'une des choses les plus importantes pour eux : ils le respectent jusqu'à la mort. Pour eux, ce code passe avant les lois du pays, des villes, etc. Ils le connaissent tous par cœur. Il a été écrit par Outlander et créé par Mey lui-même :
Le code d’honneur est très strict et tout appartenant au peuple des Marqués doit le respecter, sans quoi il sera exécuté. Dans une guerre, ils ne doivent pas faire de prisonniers sauf si la personne le mérite car elle s'est bien battue, a respecté leur code d'honneur, a des informations utiles, ou peut être utilisée pour quelque chose de profitable. Par contre, les Marqués ne doivent eux-mêmes en aucun cas se faire capturer ou devenir prisonniers, auquel cas ils doivent soit se suicider par n’importe quel moyen soit tout faire pour mourir sous les coups de leurs ennemis. S'ils ne peuvent rien faire, ils doivent se laisser mourir et ne pas dévoiler la moindre information, pas même leur nom. Ils peuvent juste dire qu’ils adorent Mey ou menacer leurs interlocuteurs.
Dans la vie quotidienne, un Marqué doit respecter tout le monde et surtout toutes les personnes vouées au culte de Mey, quelle que soit leur classe ou leur rang, ainsi que leur venir en aide au besoin s'il le peut. Quiconque a la prétention de se nommer Mey, Zorana ou Outlander ne peut pas être admis au sein du culte et devra être tué. Les Marqués ont le devoir de détruire et de dévaster villages, châteaux, maisons perdues et autres, mais s'ils ont déshonoré le culte de quelque façon que ce soit, ils sont tués. Ils doivent participer aux croisades et à toute autre chose qui peut aider le culte. Quand un membre du culte ne peut plus bouger ou va mourir et qu’il souhaite qu'on mette fin à sa vie avec honneur, on le transperce de sa lame puis on enterre ou brûle le corps. Quand un Marqué accepte une quête, une mission, un échange, un contrat ou autre, il doit le respecter à la lettre : il n'a qu’une parole et ne peut retourner en arrière ou rompre l'accord par lui-même à moins que l'autre parti ne le modifie en cours de route. Il est interdit de voler. On n'a le droit d'exécuter ou de torturer une personne qu’avec une raison valable. Il est autorisé d'utiliser n'importe quelle magie. La douleur n'est rien.
Les bonus / malus[]
Les Marqués sont éduqués de manière à ne se pas se laisser faire, et doivent respecter le code d'honneur jusqu'à la mort. Ils ont aussi une volonté de fer mais sont peu agiles car ils passent beaucoup de temps en armure. Ils doivent avant tout faire respecter de tous le nom de Mey, et détestent entendre du mal de ce dernier ou d'eux-mêmes.
Les Bonus :[]
+ 10 en force
+ 2 en sang froid (face à des coups de pression ou de la torture par exemple)
Les Malus :[]
- 10 en agilité
- 2 en sang-froid (quand on parle mal de Mey et/ou des Marqués)
Les bonus et malus de la race à laquelle appartient le Marqué sont bien sûr à appliquer en plus de ceux du peuple.