Résumé
Le recueil des légendes d’Omori est un grand livre, contenant de nombreux mythes et légendes du folklore Spiralien. Il existe plusieurs théories sur le but de la création de ce livre, qui existe en plusieurs exemplaires, tous très abîmés et en piètre état. Certains prétendent que c’était simplement pour faire peur aux enfants, d’autres affirment que toutes ces pages sont tirées d’histoires vraies, et que toutes les créatures évoquées ont bel et bien existé.
Cette énorme encyclopédie comporte un nombre conséquent de pages, plus angoissantes les unes que les autres. Il existe plusieurs exemplaires, mais ils ont tous des particularités différentes, particulièrement usés par le temps. Certains sont même brûlés, ce qui fait la rareté du recueil à ce jour. On retrouve des feuilles arrachées ou volantes entre des pages.
Informations complémentaires
Ce livre n'est que très peu utilisé, tout le monde assure qu’il ne raconte que des sottises, mais certains y croient et vénèrent presque cet ouvrage. Cette œuvre a une histoire très complexe, avant d’être éditée et sortie en plusieurs exemplaires, elle était passée de main en main. Chacun écrivait l’histoire et les légendes de la région dans laquelle il habitait. Ce livre mêle les cultures, c’est pour cela que de nombreuses pages ne sont pas écrites en Spiraleum.
Nous ne connaissons pas la date exacte par laquelle ce livre a commencé d’être écrit, mais nous savons qu’il a été édité par Armoricam - qui avait d’ailleurs un fort penchant pour le macabre et l’imaginaire. Il le retranscrit sous d'innombrables livres.
Ces nouveaux ouvrages ne devaient être que de pâles copies de l’original, mais nous trouvons sur chaque livre une particularité qui lui est propre, comme des pages en plus ou en moins. Ils sont parfois dépourvu de couverture.
Pour la petite anecdote, la maison d’édition qui a recréé ce livre en plusieurs exemplaires a fermé ses portes seulement quelques mois après. À croire que quelqu'un n'appréciait pas de voir son image dessinée sur l'une des pages ...
À la fin de l'oeuvre, il y a plusieurs pages vides en attente d’un conte.
Une légende parle de ce livre, à la page 236.