FICHE DE PERSO D'EDWIN "TOUBIB" THORN BOMANZ
Prénom & Nom: Edwin Thorn Bomanz
Age: 110 ans (13/02/1360)
Race: Espumol
Sexe: Masculin
Classe sociale: Bourgeoise, Militaire
Renom: Toubib
Guilde: Compagnie Noire
Or: ///
------Statistiques-----
Force : 45/100
Défense : 10/100
Intelligence : 90/100
Agilité : 75 (85 en vol)/100
Rapidité : 45 (55 en vol)/100
Perception : 70/100
Magie : 68/100
Sang-froid : 7/10
------Inventaire-----
Visible : Armure légère en acier et cuir rembourré couvrant les parties vitales ; Épée courte ; épée bâtarde ; Cape de pluie ignifugée ; en tissu sombre avec l’insigne de la compagnie ; Mallette de médecine ; sac de voyage en cuir ; Anneau de liamhan
Non-visible : Tunique de lin blanc, trois dagues en acier.
Dans son sac: Une couverture ; Un crayon avec son encre ; Un briquet à Silex ; Trois livres sur la magie de l’illusion ; 1L de whisky en bouteille ; Tenue de voyage
Tenue de ville: chemise, pantalon, veste, chaussures et chapeau ; Brassard de la garde ; Sac en tissus ; 1 Potion de Berserk, 1 de Soin
Mallette de médecine : 2m de fil fin; 3 aiguilles de tailles différentes; scalpel; ciseaux; pinces; chiffon; Une petite fiole d’alcool à 98% ; une bougie; 2 seringues; 1 petit mortier avec son pilon.
Compagnons: ///
------Capacités-----
Connaissances: Médecine avancée, où sans, connaissance très poussée des illusions. et connaît l’histoire. Connaissance en couture, botanique et parfumerie.
Aptitudes: Très bon sang froid et endurance malgré son âge, aptitudes de combat avec toutes sortes d’armes, sait bien évidemment voler. Sait lire, écrire et compter en spiraléen et en emporosien. Capacités de faire des savons et parfums divers.
Magie: Illusiona: Vue 15 ans, Ouïe 10 ans, Toucher 15 ans, odorat 10 ans, goût 10 ans, thermoception 20 ans, nociception 20 ans
-----Histoire------
Histoire:
Il y a de nombreuses année, dans une contrée de Spirale, vivait un esprit belliqueux d’une grande intelligence, ce qui le rendais redoutables, ce dernier s’amusait bien souvent à se promené dans les rues des villes et à entraîner des jeunes femmes mariées ou non, afin de leur voler leur virginité, ou bien simplement pour rendre leur mari cocu, en prenant l’apparence de beaux jeunes hommes. Malheureusement pour lui, un soir, il rencontra une belle humole qui lui fit tourner la tête, ayant prit l’apparence d’un humol, fort bien bâti, la femme tomba amoureuse à son tour. Il ne lui fallut cependant pas longtemps pour découvrir la réelle nature de son amant, effrayée elle voulut fuir, mais l’esprit, fou amoureux, lui empêcha toute retraite.
S’en suivit une lutte désespérée de la femme, qui se résolut par une grave blessure de la femme. L’esprit fit tout ce qui était en son pouvoir pour tenter de la faire soigner, mais rien à faire, le diagnostic de tout les médecin était le même, la femme avait perdue toute notion de se qui l’entourait et ne tarderait pas à mourir. L’Esprit désespéré eut alors une idée, il avait entendu parler d’un miroir pour les esprits, capable de miracle… Dés lors, il emmena la femme à travers spirale et, grâce à l’aide d’autre esprit il trouva le fameux miroir, il y fit entrer la femme ignorant les recommandations des autres esprits et y entra à son tour, et dés lors, il ne fut plus, en croyant sauver son amante il la tua et lui avec, créant alors un petit être.
Edwin naquit et apparut par une froide nuit d’hiver de 1360 dans la techno-cité de Gomorra, sur le palier d’un orphelinat. Recueilli et élevé dans ce milieu plutôt pauvre, il apprit bien vite à se servir de ses moindres talents pour survivre et fit tout ce qui était en son pouvoir pour monter dans les hautes strates de la société. Son corps et ses membres plumés lui donnait déjà un avantage considérable, lui donnant des allures d’ange, ou de monstre, et il apparut très vite qu’il était très en avance sur les autres enfants de l’orphelinat, que ce soit physiquement ou moralement, socialement c’était toutefois une autre chose, étant le seul humol, il se sentit bien vite seul et dépasser par le monde qui l’entourait. Sa véritable histoire débuta un jour de fête, Edwin, attirer par les coups de clairon passa la tête par la lucarne du dortoir et se hissa sur le toit, de là, il vit arriver au loin une cohorte militaire et il ne fallut pas longtemps pour les soldats défilent sous lui et sous les yeux des badauds ébahis. Ce qu’il avait sous les yeux l’émerveilla, une compagnie franche, des guerriers valeureux venant de toutes les origines, voilà ce qu’il lui fallait s’il voulait devenir quelque chose dans ce monde.
Il songea à cela toute la soirée ne pouvant s’empêcher d’être soucieux, une fois sous les draps, il n’y tint plus ramassa ses quelques possessions (cela se limitait à deux tuniques rapiécée et un bracelet d’argent ciselé, volé sur l’étal d’un marchands quelque jours plus tôt) et prit son envol par la fenêtre devant ses camarades abasourdis. Il lui fallut de longues minutes de vol pour apercevoir au loin, les feux du camp de la compagnie et lorsque qu’il y parvint enfin, ce fut pour atterrir en catastrophe au beau milieu d’un groupe de soldats occupé à vider un fût de bière. Edwin n'eut pas le temps de reprendre ses esprits qu’il était plaqué au sol par un gaillard éméché, les soldats tinrent conseil quelques secondes avant de se décider à le traîner jusqu’à une tente de toile sombre. Encore une fois des hommes discutèrent entre eux, mais il bien trop occupé à reprendre son souffle de son vol pour écouter. Finalement, on le releva sans ménagement et on le força à tenir sur ses jambes. Il avait face à lui un homme taillé au couteau, qui le regardait comme s’il ne s’agissait d’une curiosité, on lui posa une question dans une langue inconnue et ne sachant que répondre, il se tut. L’homme qui semblait être le capitaine de cette compagnie réitéra sa demande une deuxième fois, sans réponse. Il s’apprêtait à le frapper lorsque qu’une femme et un homme sortir de la tente, Edwin fut stupéfait par l’apparition, la femme était d’une très grande beauté, la peau pale et des cheveux rouges sombres qui jurait avec ses yeux ambres, pourtant, il ne sortait d’elle qu’une terrible intelligence, il semblait que cette femme aurait pu faire n’importe quoi qu’avec son regard, elle était d’une aura d’une grande puissance et d’une belle dignité.
A ses côtés, l’homme jurait, il devait avoir dans les cinquante ans, les cheveux grisonnant, lui aussi avait une aura puissante mais plus calme et douce que sa compagne, il paraissait étonnée de voir un enfant ici. Edwin remarqua que ce devait être les deux seules personnes ici n’étant pas habillé d’une lourde cote de maille, la femme portait une longue robe noire tenue à la hanche par une cordelette d’argent, ses épaules était couverte de fines plaques de métal qui semblait lui faire comme une peau écailleuse et qui descendait jusque dans le bas de son dos. Son compagnon quant à lui, portait des vêtements de cuir qui semblaient à la fois une armure légère et un vêtement de voyage, il n’était à priori pas armé. Leur arrivée sauva sans aucun doute sa vie car après avoir échanger avec le capitaine la femme se tourna vers lui et s’adressa en spiraléen, une langue connue. Il ne saurait répéter ce qu’elle avait dit mais dès qu’elle eut finit il débita en bredouillant qu’il voulait rejoindre leur compagnie et les suivre dans leur quêtes, il suivit avec ses qualité et sa force physique, ce ne fut que quand il eut fini qu’il s’aperçut qu’il avait peut-être fait une grave erreur. La femme haussa un sourcil, et le capitaine semblait vouloir lui faire les pires horreur. Mais le vieil homme sourit et lui demanda son age, comme s’il ne s’était rien passé, dans un spiraléen aussi parfait que celui de la femme. Edwin répondit avec plus de calme cette fois et eut le droit à soupir de la part de celle qui le terrifiait et qui traduisit au capitaine. Il n’avait pas songé que son âge puisse être un problème, mais il n’avait que cinq ans et la stupidité de son acte lui sauta alors aux yeux. Il allait se faire emporter par des gardes quand le vieil homme l’interpella, lui demandant s’il était réellement décidé, il dut prendre le vague hochement de tête de l’espumol comme un oui car les gardes le lâchèrent.
La femme haussa les épaules en réponse à une paroles du capitaine et se détourna avec celui-ci. Le vieil homme le mena alors vers une grande tente montée un peu plus loin, qui était curieusement entourée d’un vide contrairement au reste du camp, il eut sa réponse en rentrant à l'intérieur, c’était un semblant d’hôpital militaire, quasiment vide. Là, le vieil homme lui fît un briefing sur ce qui lui arriverait à présent.
Tout d’abord, il s’appelait Toubib et était médecin, sa compagne se faisait appeler la Dame et contrairement à ce qu’il pensait, c’était elle, la capitaine, une sorcière très puissante, ancienne impératrice selon lui. Enfin l’homme qui l’avait interrogé se nommait Corbeau et était le lieutenant. Il apprit qu’on n’avait épargné sa vie car Toubib n’aimait pas la violence inutile et qu’il avait besoin de bras pour s’occuper des malades, ses deux derniers aides étant morts, l’un de suicide et l’autre d’une fièvre virulente, de quoi le rassurer. On lui fournit un lit et de la nourriture en échange de son travail. Ainsi commença son aventure, et les cinq premières années de services servirent amplement à comprendre comment marchait la Compagnie Noire, puisque tel était son nom. C’était une bien curieuse institution, régie par des règles étranges, qui semblaient être plus vieilles que le docteur. La Compagnie était composée de mercenaires de tous les horizons mais pourtant personne ne se souciait de qui ils étaient vraiment en effet, la Compagnie acceptait tout le monde, pourvu que l’on jure allégeance à l’étendard. La plupart des soldats changeaient ainsi de nom lors de leur entrée et une fois entrée, le passé n’existait plus, on appartenait à la compagnie jusqu’à la fin, point. Il apparut très vite que la Compagnie était à géométrie variable, elle comptait quasiment deux milles membres lors de son engagement, et il arrivait qu’après des batailles, l’effectif tombe bas, en dessous de la cinquantaine parfois.
En fait, la Compagnie était un refuge pour tous les manants qui voulaient se battre mais seulement une vingtaine de membres, principalement les plus haut gradés, et il ne faisait pas de doutes, ceux en qui la capitaine avait confiance, restaient les seuls rescapés des plus dures des batailles. Si la Compagnie Noire avait une grande réputation pour sa puissance c’était principalement grâce à trois choses, premièrement, dans le haut cercles des vétérans, il y avait de puissants mages et guerriers qui faisaient des ravages, ensuite bien que la Compagnie accueillent n’importe qui, les hommes étaient menés à la baguette, et subissait des entraînement militaires vigoureux, qui faisaient d’elle une véritable armée organisée et bien réglée. Dernièrement, certainement le point le plus important, la compagnie tenait à sa tête trois stratèges de génie, qui faisaient d’elles une armée à faible effectifs, qui ne frappait que rarement de front, mais qui était terrifiante de fourberies, elle massacrait sans vergogne, attaquant en piqué les camp retranché, harcelant sans cesse jusqu’à démoraliser l’ennemi, et à le massacrer. Edwin, suivant l’exemple des autres pris le surnom de Volesprit, dut à ses ailes et travailla durement dans l’hôpital auprès du médecin, il apprenait vite et à dix ans, Toubib le jugea apte à devenir son apprenti. C’était à un moment où la compagnie sortait de campagne et ne comptait plus que douze membres, et pourtant elle était dans une de ses meilleures périodes, celle durant laquelle Edwin compris et s’imbriqua bien dans le groupe. Les douze membres étaient tous déjà là à son arrivée et il les connaissait assez bien pour pouvoir tisser quelques liens avec eux, c’étaient pour la plupart des soldats de profession et un bon nombre de mages.
Pilier, Lame, Tempête, et Casier étaient des gars d’une trentaine d'années, des soldats comme d’autres mais qui avaient acquis la confiance de leur hiérarchie. Crapaud et Qu’un-oeil quant à eux était de sacrés énergumènes, deux mages nains qui passaient leur temps à se chercher querelle, ce qui donnait parfois lieu à de sacrés spectacles. Ceux-là faisaient pâle figure à côté de Silence, un autre mage discret et réservé qui détenait néanmoins une sacré puissance, en plus d’être un bon guerrier. Silence était accompagnée comme une ombre de Chérie, une adolescente henyelecca muette qu’il avait sauvé lors d’un quelconque pillage, cette fille possédait une étrange aura qu’Edwin ne parvenait à cerner. Il s’entendait très bien avec elle malgré leur différence d'âge et appris bien vite à parler le langage des signes, langage pratique pour faire passer des informations discrètement. Corbeau quant à lui correspondait à l’image que l’on pouvait avoir d’un lieutenant, les cheveux gris, les traits tirés, et un cerveau capable d’imaginer les meilleurs stratagèmes pour massacrer l’ennemi. Venait ensuite la Dame, certainement le personnage le plus étrange de cette troupe hétéroclite, il ne savait s’il devait la considérer comme une princesse déchue, ou une guerrière vicieuse et sans vergogne, peut lui importait de toute façons, c’était elle qui menait la troupe et elle savait le faire, c’était elle qui avait instaurés un ordre religieux, ainsi qu’une hygiène obligatoire, sur les conseils du médecin, afin d’éviter, les meurtre et viol inutiles, et pour empêcher des épidémies ravageuses et garder un air professionnel. La Dame n’hésitait pas à montrer l’exemple elle-même et faisait ses corvées comme tout le monde, au même titre qu’elle montait au combats à l’avant de ses soldats, on disait qu’elle était une puissante mage elle aussi, mais Edwin n’eut pas le loisir de la voir à l’œuvre directement.
Enfin venait Toubib, un curieux personnage lui aussi, un médecin rouillé par les chants de batailles et qui pourtant gardait une flamme revêche. Il tenait une étrange relation avec la Dame, il fallait être aveugle pour ne pas voir que ses deux là était amoureux mais le caractère intouchable de cette dernière rendait leur relation quasi impossible, lorsqu’il interrogeait son maître, il lui répondait qu’il en avait toujours été ainsi, et que la Dame n’avait certainement que rarement eu une étincelle humaine en elle. Edwin devait beaucoup à Toubib, ce dernier lui avait appris l’emporosien au cours des années, accompagné de beaucoup de pratique, puisque c’était la langue parler dans la compagnie franche, lui, qui lui enseignait la médecine. Ce ne fut pas facile, d’abord simplement assistant, Edwin, fut amené à faire des points de suture puis des cataplasmes, mais parfois, la tente qui servait d’hôpital était tellement plein qu’il devait se débrouiller sans Toubib qui avait constaté ces étonnants progrès, et qui récemment c’était mis en tête de lui transmettre sa propre magie, la même que celle des deux nains, l’illusionna. Toubib portait aussi un autre chapeau que celui de médecin, fiancé et maître, c’était lui qui était chargé de rédiger les annales de la compagnie, des livres qui relatait tous les événements arrivé dans la compagnie depuis sa création, il y a quatre siècle, bien que les premier tomes ait été perdus. A partir de là, ce fut de longues années qui s’écoulèrent avant que la compagnie prenne une autre voie. Edwin progressait rapidement dans l’apprentissage de la magie des illusions, moins dans la médecine, à présent, il maîtrisait correctement les quatre premiers sens, mais avait une certaine préférence pour le toucher et la vue, en effet les exercices que lui donnait à faire Toubib utilisait surtout ces deux sens . Bien que le début fut difficile, Edwin montra un certain don avec cette magie, comme s'il se la remémorait au fur et à mesure, si bien qu’il passait tous les palier assez rapidement. Toubib n’en profita cependant pas pour moins s’en occuper, il lui demandait tous les jours, de créer des illusions, tant pour aider les officiers dans quelconques tâches que pour aider les soldats blessés et souffrant. Durant ces années, les membres ne changèrent pas, mais les clients défilaient, la compagnie vivait bien a vrai dire, mais les grandes batailles étaient passées, pour l’instant. Certains liens avaient changés aussi et Edwin s’acoquina de Chérie, ils ne vivaient pas une sérieuse vie de couple dans ce contexte mais se satisfaisaient l’un et l’autre. Le ventre de la Dame avait aussi commencé à prendre des rondeurs depuis quelques mois, et Toubib ne cachait pas son sourire.
Le début de la fin entre Edwin et la Compagnie Noire commença l’année 1420, l’espumol avait alors soixante ans et était un devenu un bon médecin comme un bon combattant, il avait d’ailleurs remplacé Toubib que l'âge dérangeait. Cette année-là la Compagnie se remit à recruter, et elle comptait presque six cents hommes lors de la bataille. Cette fois, la compagnie était tombée sur plus forte qu’elle, et ce fut un véritable carnage, d’un côté comme de l’autre. Lorsque l’ordre de se replier tomba, Edwin et les quelques hommes restant tombèrent sur un camp en feu, jonchés de cadavres. Il leur fallut trois semaines pour enterrer tous les corps, parmi eux, il ne reconnut que Corbeau et Silence. Sa bien-aimée et tous les autres avaient disparu, sans aucun doute torturés ou brûlés dans un incendie. Ce fut alors un grand choc pour lui, il venait de perdre tout ce qu’il comptait pour lui. Inconsciemment, il se mit à vivre une vie de vagabond, et retourna au porte de sa ville natale, sans savoir que ses amis avaient subsisté et vivaient désormais, au loin, en Aransyl.
Rentré à Gomorra, Edwin eut du mal à se réadapter, la ville avait évoluée et son ancienne classe sociale lui avait fait connaître que les faubourgs et les quartiers mal famés. Il comptait bien se venger de son enfance et pour cela, il chercha à s’introduire dans la haute bourgeoisie. A vrai dire, il n’eut pas tant de mal à s’y introduire, ses talents de médecins furent vite reconnus, et surtout, son étonnante magie qui lui permettait de jeter de la poudre aux yeux de quiconque le lui demandait. Sa facilité à remporter les duels à l’épée, lancés par des riches, agacés de sa montée le précipita dans les salons de messieurs reconnus et dès lors, sa vie fut rythmée au cours des salons et des représentations. Il vivait bien et était entretenu par une jeune veuve qu’il avait habilement charmée car il apportait beaucoup de soins à son corps, il avait d’ailleurs même pris son nom Bomanz.
Seulement, cette vie ne l’empêchait pas d’étendre ses connaissances et il profita des nouvelles portes que lui offrait sa position sans retenue aucune. Tout d’abord, il se fit tailler des habits sur mesures pour ses ailes mais tint à le faire lui-même, cela lui permit d’approfondir sa technique de couture, jusqu’ici utilisée pour raccommoder armures et corps. Il fit ensuite venir un précepteur, auprès duquel il apprit l’arithmétique, la géométrie et l’histoire, un domaine dans lequel il passa beaucoup de temps, pour les langues, il n‘avait pas grand-chose à parfaire. Mais il y avait quelque chose qui lui tenait plus à cœur encore, en fouillant un peu partout et en laissant traîner son nez dans les bibliothèques privées des bourgeois, il finit par rassembler une sorte d’encyclopédie de l’illusionna, en effet, ses capacités actuelles ne le satisfaisait pas. Ainsi, à force de beaucoup d’entraînement, de lecture et d’apprentissage auprès d’autres mages, Edwin apprit à maîtriser les deux paliers suivants. L’héritage de Toubib lui servit beaucoup, et s’il ne réussi, ce ne fut que principalement grâce à des carnets d’études qu’il avait réussi à récupérer et surtout la pratique quotidienne, autant pour des petits riens, que pour des applications plus ambitieuse qui, quand elles rataient, le laissait parfois dans un grand embarras. Il avait aussi changé son utilisation des premiers. En effet, il avait jusque-là utiliser sa magie comme moyen de combattre, de faire peur, à présent, il l’utilisait pour charmer, enjoliver et émerveiller, il créait des arabesques colorées au lieu de rang de cavaliers fantômes, sans toutefois délaisser ses derniers, qui trouvaient leur utilité dans ce milieu riche et mondains. Toutefois, toutes les belles choses ont une fin, et celle-ci apparut peu après l’anniversaire de la quatre-vingt-cinquième année de vie d’Edwin, quand il eut vent d’une nouvelle plus qu'intéressante. Quelque par loin d’ici, en Barovie, une compagnie franche diriger par une mystérieuse femme faisait parler d’elle. Il ne lui fallut que quelques jours pour régler ses affaires et se relancer sur les routes. Cela lui rapporta de bons souvenirs que de remettre en ordre son barda de campagne militaire, son épée et son armure d’acier et de cuir, qu’il avait gardé depuis tout ce temps, ne pouvant se résoudre à s’en débarrasser. Il garda cependant une tenue de ville assez chic, en effet, il n’avait pas dans l’idée de retourner complètement à sa vie de mercenaire. Bien évidemment, il garda son chapeau et sa cape qui ne l’avait pas quitté depuis son entrée dans la Compagnie ainsi que sa mallette de médecine au contenu amassé ça et là lors des campagnes, et qui constituait la principale source de ses revenus depuis longtemps
Il veilla cette fois-ci à ne pas partir seul, et servit d’escorte, à une famille de parfumeurs nains, cela lui permit plusieurs choses, premièrement, le calme et la tranquillité du voyage lui permirent de s’intéresser à l’art de parfumer et plus basiquement, à celui de la botanique lié au premier. Ensuite, les attaques répétées de bandits ou quelques autres hors la loi lui permirent de se dérouiller de ses aptitudes de combats ainsi que de maîtriser un nouveau paliers, la nociception bien utile dans un climat d’affrontement. Edwin, bien qu’un rude combattant et un homme habitué à la poussière des chemins, était très propre sur lui, toujours bien, rasé, habillé, il n’hésitait pas à utiliser des pommades afin de contrecarrer les effets de l'âge et, bien qu’ il n’y était pas obligé, il se lavait et prenait des bains le plus souvent possible, vestige de la bourgeoisie et des habitudes de la Dame. Ceci et son entraînement répété, à la lutte au vol,et à la course, lui permit de rester dans la force de l’âge, et il n’hésitait pas à utiliser sa magie quand il le fallait. Il lui fallut ensuite près de vingts ans de cette vie, durant laquelle il apprit de nombreuse technique de parfumerie entretint sa langue et sa magie, en suivant des traces de cette compagnie, pour arriver aux portes de Barovia et en ne délaissant jamais sa pratique de sa magie, par ailleurs il améliora, grâce à la parfumerie son illusion de l’odeur.
Description physique: Un espumol avec des ailes noires légèrement bleutées, environ 1m78, un corps dans la moyenne, yeux bleu nuit, et les cheveux sombres. Il semble avoir la quarantaine bien avancée. Un visage froid et inexpressif.
Description mentale : Il est très calme et sérieux, ne cédant que rarement à la colère ou à la peur, il à un grand sens de l’équité mais qui diffère de la norme. Il peut paraître parfois très sceptique et veut toujours prouver par lui-même ce qu’il voit, il à du mal à croire de l’authenticité d’un fait quand celui-ci est un peu bancal, en conséquence à sa magie. Il est donc parfois difficile de le convaincre car il doute toujours de tout.
Liens: ///
Lieu de résidence: ///
Métier: Mage, Guerrier, Mercenaire, Médecin, Botaniste
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Fiche de personnage d'Ellundryl, pour le lore de Barovia