Wiki Sandor
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Equipement: Il a une armure de l’Ordre blanc complète avec son casque. En dessous il met une tenu épaisse en laine pour amortir le chocs. Quand il il ne porte pas son armure il a une tenue chic, composé d’un pantalon d’apparat blanc et d’un haut en lin de la même couleur avec des broderie dorées aux épaules et au cou. Il a aussi un long manteau en cuir marron avec toujours des broderies dorées. En armes il a une épée à une main, dans un fourreau à sa ceinture. Il a aussi un bouclier blanc avec la devise de l’Ordre sur l’avant Deux chevaux de traits avec des charrettes le suivent avec de quoi assembler 3 grandes tentes et de quoi se nourrir environ une semaine. Les chevaux repartiront à son arrivée avec les charrettes

Poches: Il a dans ses poches un carnet, une plume et de l’encre. Il a aussi trois dagues cachées pour deux dans ses bottes et l’autre dans le poche intérieur de son manteau. Enfin il a un Jolly qu’il garde toujours caché avec 10 cartouches

Compagnons: Azuria, son cheval de guerre d’un blanc éclatant le suit en toutes circonstances. Il est capable de reconnaître son nom et de venir aux sifflements de son maître

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Capacités:

Connaissances: Il est très bien éduqué, il sait lire et écrire. Il est justement un écrivain de talent. Il a un très bon niveau en anatomie et se débrouille en mathématiques et dans les autres sciences. Il peut tenir une discussion dans les langues d’Emporos et de Bremen. C’est un bon combattant à l’arme blanche et un tireur acceptable à l’arc. Il est déjà bien meilleur à l’arbalète. Il maîtrise kanzel à un bon niveau. Il sait pister et chasser les animaux

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Histoire:

☀Histoire: Un 3 Oneira comme un autre naquit un henyelecca nommé Edward. Enfin Edward Everett Hale pour être précis. Ses parents ressemblaient beaucoup, autant physiquement que moralement. Sa mère était une henyelecca agitée et coquette. Elle adorait les balades en campagne, jouer à des jeux en plein air, chevaucher, tout ce genre de choses. Elle était jeune et belle, vivant avec sa petite famille dans un coin perdu en Aransyl. Elle vivait avec sa famille dans la campagne. Une vie modeste et calme avec 2 frères avec qui elle jouait et travaillait dans la ferme de ses parents. A 25 ans, elle épousa un autre jeune henyelecca du voisinage et ils eurent un enfant dans l’année. Elle vivait alors, paisible, ne se souciant de rien jusqu’à la fin de l’année où un événement bouleversa sa famille. Le père qui travaillait dans les champs vit arriver un grand groupe de mercenaires se déplaçant dans la région. Ils allèrent vers la ferme dans le but de se restaurer sur le dos des locataires. Cependant ils remarquèrent rapidement de quelle race était cette joyeuse famille et l'appât du gain fut si fort que la famille fut massacré pour leurs yeux. Les mercenaires repartirent, content mais sans savoir qu’ils avaient oublié Edward et sa mère, cachés dans le grenier. La pauvre jeune femme découvrit, en sortant de sa cachette, les cadavres de sa famille, sans leurs yeux et encore chaud. C’est alors qu’un groupe de chevaliers de l’Ordre blanc arriva quelques heures après, à la poursuite de ces mercenaires. Ils recueillirent l’henyelecca complètement détruite et son fils. La jeune femme était au départ inexpressive mais le général de l’expedition, tombé fou amoureux d’elle, réussit après un bon bout de temps à la rassurer, a lui ôter cette inexpressivité. Le général voulait insolemment l’épouser mais la jeune henyelecca préférait refaire sa vie à l’Ouest, elle accompagna donc les chevaliers lors de leur retour vers Elaris. Mais une fois arrivé dans la demeure du chevalier, découvrant le cadre de vie auquel elle pouvait aspirer, elle tomba subitement folle amoureuse du général et accepta de l’épouser. Le seigneur était fou de sa beauté, son caractère, sa touche de folie. Elle était tombée sous le charme des bijoux, des fêtes, de l’or. C’est alors qu’un 3 Oneira comme les autres renaquit un henyelecca nommé Edward. Il venait d’avoir un an et son existence comblait son père. Il imaginait déjà l’avenir de son fils, radieux. Celui d’un chevalier resplendissant, fort, valeureux et pieu. Mais sa mère, elle le voyait autrement, voulant que son fils soit éloigné de la vie dangereuse de chevalier et du fanatisme religieux de son père. Mais ce dernier lui fit rapidement comprendre que si elle voulait continuer à vivre dans le luxe, voir vivre simplement, elle devrait céder. Ce qu’elle fit sans trop de regret, abandonnant l’éducation et le sort de son fils à son père pour retourner se vautrer dans le luxe. Le beau bébé qu’était Edward grandit et dès qu’il fut en âge de comprendre les mots qu’on lui disait, son père fit amener les plus fervents prêtres pour lui apprendre la bonne parole.Alors qu’il avait tout juste 3 ans, les histoires que lui racontaient son père et les servants pour dormir parlaient exclusivement de héro, combattant pour Dieu et le salut des hommes. Le petit Edward était émerveillé par ces héros et par son père qui était pour lui l’incarnation de l’homme parfait. Il répétait des prières et des proverbes religieux sans même en comprendre le sens. Son père partait de temps en temps en mission, et même si il était chouchouté par les suivants, ces absences le rendaient toujours triste. Mais le petit garçon retenait ses pleurs et s’efforçait de sourire pour être courageux tel un pieu chevalier. Le garçon continua de grandir, apprenant à vivre tel un bon Korien. Bien sûr il était beaucoup trop jeune pour comprendre quoi que ce soit mais il était ravi d’entendre qu’il était sur le droit chemin que suivait son père. A 6 ans il commença sa éducation générale, tout en continuant ses études religieuses très stricts à partir de ses 5 ans. Ses professeurs se faisaient plus sévères et n’hésitaient pas à user de châtiments corporels. Son père savait que c’était un cadre compliqué pour un enfant si jeune mais il voulait absolument voir son fils devenir un homme pieu. Ainsi il le tint éloigné de sa mère le plus possible pour éviter qu’il la prenne comme exemple. Le petit garçon prenait beaucoup de plaisir à la lecture et à l’écrire, ayant comme objectif de lire ces histoires de nobles chevaliers seul. Ce qu’il pouvait faire de manière aisée à 8 ans, âge où il commença à prendre un intérêt vers l’écriture d’histoire. Il continua à s’instruire, découvrant la géographie, les mathématiques, les langues de Bremen et d’Emporos. Vous pensez que cela fait beaucoup pour un jeune garçon ? Et bien c’est vrai. Malgré toute la volonté qu’il y mettait, il avait du mal à tout retenir et prenait beaucoup de coups de bâton. Les mathématiques n’étaient pas son fort mais il se débrouillait bien mieux e langue. A 10 ans, il commença son enseignement dans les sciences, notamment l’anatomie, sujet qui l’intéressait beaucoup. Il apprit aussi cette année-là qu’au vu de ses liens familiaux il avait déjà une place dans l’Ordre du Temple blanc, ordre dont son père faisait partie et ne cessait de vanter les mérites. Car en effet, un détail qui a son importance, le père d’Edward était le frère de l’actuel grand seigneur de l’Ordre. Il passa une bonne partie de son maigre temps libre pour lire des livres sur cet ordre qui le fascinait, tout autant que le corps des espèces vivantes. A 12 ans, il commença son entrainement aux armes. Son père commença à l’initier lui-même, tandis qu’Edward continuait d’étudier avec ses professeurs. Ses journées se firent toujours plus longues et le jeune garçon finissait souvent sur les rotules. Son père lui apprit tout d’abord le combat à l’épée, avec des rames en bois sur des mannequins. Puis peu à peu, le père entoura son fils de maitre d’arme aussi compétant que dur. Ils le faisaient travailler sans relâche, sans prendre en compte son âge et le travail d’éducation qu’il menait à côté. Il passa vite au maniement d’armes réelles. A 13 ans, la part de son temps consacré aux études diminua et il travailla de plus en plus sur ce qui pourrait faire de lui un bon chevalier. Combat à l’épée, tir à l’arc, à l’arbalète, équitation. Il était devenu un débutant dans l’Ordre, il n’était donc que bas placé mais on le plaçait déjà au-dessus des autres à cause de sa lignée. Les attentes sur ses épaules étaient grande alors il faisait de son mieux pour rendre fière son père, qui même si il ne participait plus à son entrainement,  veillait d’un œil attentif aux progrès de son fils. Parallèlement le jeune garçon passait toujours autant de temps à la bibliothèque où il en apprenait toujours plus sur l’anatomie des créatures vivantes et laissait aussi libre court à son imagination dans l’écriture d’histoire courte.A 15 ans, il rencontra pour la première fois son glorieux oncle ainsi que son cousin. En effet, ce dernier allait devenir le partenaire d’entrainement d’Edward et le père du jeune garçon était présent pour voir le travail de son fils. Edward ne parla pas avec son oncle mais découvrit en son cousin un garçon déterminé. Son caractère lui plut et ils sympathisèrent. Lors de leurs entrainements communs, quand venait l’heure des combats, les gens qui passaient pouvaient assister à un beau spectacle. Mais Edward perdait à chaque fois après de longues minutes de combat serré. Il ressentir un profond respect l’un l’autre et discutait de temps en temps même si leurs emplois du temps chargés ne le permettaient pas souvent. De plus Edward travaillait de plus en plus sur l’anatomie en commençant à négliger les autres matières qui n’étaient pas religion et langue. La stratégie militaire prenait aussi une grande part dans son apprentissage. Avec son jeune âge ça ne lui plaisait guère. Il pensait qu’il était idiot de s’embêter. Si on est assez fort et valeureux on peut vaincre n’importe quel ennemi se disait-il ! Mais il avait bien sûr tord et son père lui fit comprendre. Il augmenta alors ses efforts et à ses 18 ans, il était devenu un adulte fort et intelligent. Un égo légèrement surdimensionné commença à apparaître en lui. Il suscitait de regards admiratifs de son travail et son physique attirant ce qui lui donna une haute estime de lui-même. Il gagnait maintenant la grande majorité de ses duels. En réalité la seule personne qui le battait de manière régulière était son cousin. C’est lors de cette année qu’il fut confié à son père non plus en tant que fils mais en tant qu’écuyer. Le jeune garçon se vit offrir une épée simple par son père ainsi qu’une tenue en cuir. Le garçon était excité, sachant qu’il allait bientôt participer à des combats pour le compte de l’Ordre ! Et ça ne tardera pas, à tout juste 19 ans il fut envoyé avec son père et une troupe déloger un groupe de bandit caché dans le nord d’Elaris et qui harcelaient les marchands cherchant à atteindre la grande ville. Une fois sur place les chevaliers placèrent un camp dans un bois et partir à la recherche du lieu de ralliement des bandits. Après 6 heures de recherche, c’est Edwrad qui le trouva. Une petite clairière avec des tentes et des bandits détendus. Edward regroupa tout le monde et son père en tant que chef prépara un plan d’action. Il était simple, un groupe de chevaliers mobiles irait mettre feu aux tentes tandis que les plus lourds combattant encerclait le camp avec les archers derrière eux qui tirait sur les bandits. La stratégie reposait sur le fait que les soldats lourds n’avançaient pas et ne faisaient que repousser les bandits cherchant à fuir le feu et les flèches. Edward était surexcité et était impatient de savoir son affectation mais ce fut un choc quand son père lui ordonna de rester avec deux autres écuyers et un tout jeune chevalier pour garder le camp et les chevaux. Il eut beau protester, son père ne voulut rien entendre. La stratégie fonctionnait bien au début, mais un détail clochait. Les chevaliers trop sûrs d’eux, avaient attaqué le camp sans réfléchir et sans penser que des bandits pourraient ne pas être présents en son sein. Ainsi un petit groupe de bandit arriva au cours de la bataille et pris les chevaliers au revers. Les deux camps se firent un combat acharné qui mit quelques minutes à tourner en faveur des chevaliers. Cependant, au dénouement de la bataille, un bandit réussit à contourner la mêlée et à attaquer par derrière alors qu’il se tenait en retrait pour crier des directives à ses camarades. Après une empoignée légèrement ridicule vu de l’extérieur, le père d’Edward se retrouva sous le bandit, incapable de se mouvoir tranquillement au sol à cause de sa lourde armure. Le bandit lui retira son casque, un sourire carnassier sur le visage. Il s’apprêtait à planter sa dague dans le cou du général prononçant une dernière prière quand un carreau d’arbalète se planta dans le sol juste à côté de la tête du général. On entendit alors un grand cri et en tournant la tête le bandit eut tout juste le temps de voir Edward dresser son épée avant de perdre la tête et la vie. Ravi de son travail il planta son épée dans le sol, un sourire satisfait sur le visage. Son père ouvrit la bouche pour lui demander de l’aider à se relever quand Edward fonça d’un coup vers la mêlé en criant, une expression de joie sur le visage. Le général resta donc allongé sur le sol, incapable de se relever seul. Il était suivit du jeune chevalier en train de recharger don arbalète. Ce dernier encore déçu de son tir raté se concentra et se révéla être d’une précision étonnante. Edward quant à lui fut moins glorieux lors de la bataille.En effet, lors de sa charge il prit un coup à la tête qui ne lui était pas destiné mais qui lui atterrit dessus à cause d’une esquive. Il en tomba inconscient et lorsqu’il se réveilla, il se retrouva dans le camp avec son père à son chevet. Il s’inquiéta d’abord de son état, mais on vit bien assez vite que le jeune homme n’avait rien. Il dû alors expliqué  ce qu’il s’était passé et il raconta qu’il avait influencé le jeune chevalier nommé Louis pour qu’il l’accompagne se battre, ne voulant pas rester à attendre. Le général demanda à toutes les personnes présentes de sortir et fâcha son fils comme il ne l’avait jamais fait. Plus que son idiotie, son insubordination, son égoïsme, c’est la peur de perdre son fils qui fit réagir ainsi le grand général. Il lui cria dessus plus de 10 min. Après cela il ne dit rien durant un moment puis remercia son fils. Ce dernier fut d’abord étonné, mais son père lui dit qu’il lui devait la vie. Edward était très fier mais aussi déçu de ne pas avoir pu montrer sa valeur à son père et aux autres. Pendant que les nombreux blessés se faisaient soigner, les chevaliers en bon état amenèrent les bandits vivants à la garde d’Elaris. Durant cette période, Edward retournait souvent sur les lieux du combat pour en observer les corps sans vie et les étudier. Une fois tout cela fait, la troupe retourna au Temple, ses membres légèrement honteux de la tournure que le combat a pris. Le père d’Edward interdit ce dernier de repartir en mission avec lui jusqu’à nouvel ordre. Cela déboucha sur une dispute longue et bruyante, mais Edward fut bien obligé d’obéir. Derrière un mal se cache un bien, et Edward put profiter de ce temps pour apprendre à se canaliser et à continuer d’étudier l’anatomie. Il connaissait le corps des espèces les plus proches des hommes (hommes, djinn, henyelecca, premier hommes) sur le bout des doigts. Il travailla d’arrachepied pour comprendre ces formidables machines que sont les corps des animaux. Mais plus il en découvrait les secrets, plus il trouvait ces machines imparfaites. Ou plutôt encore perfectible. Il ne remettait pas en cause le travail de Dieu, au contraire pour lui le corps des espèces humanoïdes était polyvalent, bien pensé. Mais pour Edward à force de modification on pouvait spécialiser le corps pour une tache et le rendre parfait à l’usage ! En effet,, un soldat dont on réduirait la taille, la masse musculaire et graisseuse, à qui ont augmenterait la densité musculaire dans les jambes et dont on augmenterai la puissance des yeux ne serait-il pas le plus efficace des éclaireur ? Et bien c’est comme ça qu’Edward voyait les choses. Il passait son temps qui n’était pas pris par les entrainements à lire des lires traitants des greffes et de ces genres de choses. Mais rien ne semblait convenir à ce qu’il souhaitait. Et pourtant il lisait une quantité de livres impressionnante, certains étant même dans une langue étrangère qu’il connaissait. A 20 ans, il fut envoyé avec son père sur une autre mission, cette fois de plus grande envergure. Un groupe d’orc était accusé de piller des villages au sud de la région. Mais ce qui a vraiment outré l’Ordre c’était que ces viles créatures pratiquaient la démonologie ! C’était une tribu qui se transmettait cet enseignement de générations en générations. Un groupe d’assaut composé de 2 généraux dont le père d’Edward, 80 chevaliers, 50 écuyers et 40 archers fut envoyé pour ce combat. Ils étaient tous préparés, déterminés et prêts à en découdre, surtout Edward. Il avait reçu l’autorisation de se battre au côté de son père alors il était ravi. Une fois arrivé dans la zone où les orcs avaient été vu la dernière fois, ils ne trouvèrent que des villages rasés avec des maisons carbonisées, des champs dévastés et des cadavres. Edward était horrifié de la cruauté de ces êtres mais... il ne pouvait détacher son regard des corps au sol. Ils l’intriguaient. Il arrivait souvent qu’il dévie un pu du chemin pour regarde attentivement un corps sans vie avant que son père lui dise de ne pas se laisser distraire. Surtout que cet intérêt macabre ne lui plaisait guère. Un groupe d’éclaireur vint quérir les deux généraux en courant et leur annoncèrent qu’un village à quelques centaines de mètres d’ici avait des traces de passages récentes. Le grand groupe hâta le pas et une fois arrivé dans ce village dévasté ils se scindèrent en deux groupes. L’un plutôt petit composé en grande partie d’écuyers et de personnes en capacité de soigner pour aider les rares habitants encore en vie et le plus gros de la troupe partait sur les traces des orcs. Edward fut assigné à l’équipe de secours à son grand malheur. Pour le forcer à rester, son père lui a assuré qu’ils n’attaqueraient pas les orcs directement, qu’ils attendraient leur venu. Mais les évènements se passèrent d’une tout autre manière. En effet, les orcs se savaient poursuivis alors ils avaient préparés une embuscade dans un chemin de forêt. Les chevaliers furent assaillis de tous les côtés sans préparations au combat. Les rocs eux étaient déjà sur le pied de guerre et certains avait déjà utilisé leur magie funeste pour augmenter leur capacité au combat. Heureusement aucun des orcs ne maitrisait l’invocation de démon. Les chevaliers se battirent vaillamment mais restaient en position précaire. Dès qu’un orc mourrait en première ligne, un de ses camarades à l’arrière le remplaçait pour lancer coups de hache, masse, épée… Un jeune écuyer légèrement à l’écart de la mêlée réussit à fuir. Il courut de toutes ses forces pour aller à la rencontre des soldats resté à l’arrière. Edward fut le premier à se lancer vers le champ de bataille autant pour sauver son père que pour pouvoir participer à sa première vraie bataille. Le petit groupe qui allait aider ses camarades, était composé essentiellement d’archers qui ne pouvaient tirer de risque de toucher leurs alliés, de chevalier peu expérimenté et d’écuyers, comme lors de la dernière mission d’Edward. Le groupe fut meurtrier dans les premiers instants, profitant de la surprise, ce qui permit aux chevaliers expérimentés de se dégager un peu d’espace et d’inverser la tendance. Edward se battait comme un lion. Tuant un grand nombre d’adversaire de la lame de son épée. Mais il tomba sur un adversaire trop fort pour lui et pris un grand revers de bouclier dans la tête ce qui le fit tomber une nouvelle fois inconscient. Au même moment les orcs sonnèrent la retraite. Mais ces derniers ne voulaient pas simplement partir la queue entre les jambes alors certaines orcs embarquèrent des blessés proche et les emportèrent pour en faire leurs prisonniers.Et en effet, Edward fut emporté. Il se réveilla plusieurs heures plus tard, dans une grossière cage en bois avec des branches pour pouvoir la porter à plusieurs. Il y avait un total de 8 cages avec 2 soldats à l’intérieur à chaque fois. Elles étaient actuellement posées au sol, à côté d’un campement composé des orcs qui ont survécu à la bataille. Edward fut grandement étonné de voir dans la même cage que lui, Louis, l’arbalétrier de sa première mission. Le campement se déplaça le lendemain avec leurs prisonniers vers un autre village à piller. Il savait qu’il serait sûrement toujours poursuivit mais ils ne savaient pas quoi faire d’autre. Ils arrivèrent dans un petit village d’environ 70 habitants. Les orcs laissèrent les cages en bordure surveillé par deux jeunes orcs. Tous les autres foncèrent sur le village tel des bêtes sauvages. Les hommes, les enfants et les vieillards étaient massacrés, les femmes violées, les maisons pillées et incendiées.  Lors du massacres, les deux gardes foncèrent s’amuser avec leur camarade ne voulant pas rater l’amusement. Un jeune garçon du village qui avait échappé au massacre, voyant qu’il y avait des gens sûrement plus capable au combat que lui de disponible, alla délivrer les soldats enfermés en trouvant des clés tombé de la poche d’un orc. Les 16 soldats s’équipèrent du peu d’armes que les orcs avaient laissé à coté de leur lieux d’incarcération. La plupart des soldats voulaient partir mais Edward et Louis les convainquirent de partir à l’assaut des orcs pour sauver les villageois. Edward guida le groupe lors de la bataille. Il effectua des manœuvres de petits groupes pour éliminer les orcs isolés petit à petit. Sa stratégie fonctionna parfaitement et en quelques heures, le peu d’orcs qui avait survécu à la grande bataille étaient hors service. Les chevaliers se regroupèrent et attendirent le reste du groupe. Louis et Edward était maintenant traité en héro pour leur vaillance et leur vivacité d’esprit. Le reste de la troupe arriva et un rapport fut donné aux deux généraux. Ils félicitèrent les soldats nouvellement libres et vérifièrent que la menace était éliminée. Une fois cela fait, ils se restaurèrent et se reposèrent puis partir sur le chemin du retour. Edward profita du temps de repos pour étudier comme à son habitude les cadavres du champ de bataille. De retour au Temple avec des effectifs bien amoindries, les généraux reçurent une gueulante de leur supérieur, même si ils furent félicités pour avoir mené à bien la mission. A l’issue du rapport, Edward fut convoqué et il fut très heureux de recevoir sa promotion en tant que chevalier. A 20 ans il était devenu grand et robuste. Il était solide physiquement mais il était plutôt fin. Il eut avec reçu avec joie une armure en métal complète, blanche et un bouclier de la même couleur avec l’inscription "Voex as imeum kir Somdur, ke vor rak kusk r'Ordra ma dukema vok, er ra karo vor rak orkak." en grand à l’avant. C’est son père qui lui avait fait préparer, voulant faire plaisir à son fils. Le jeune henyelecca avait terminé son entraînement, était équipé et avait le plein accord de sa hiérarchie pour combattre en mission. Il était fin prêt et s’engagea dans de nombreuses missions et en 2 ans il gagna la réputation d’un homme vaillant, fort et sans pitié avec ses ennemis. Mais en même temps que la reconnaissance, son égo grandit. Il devint peu à peu imbu de lui-même et très confiant. A 22 ans, même si il continuait les missions régulièrement, il les espaça pour pouvoir profiter de la fortune de son père et de l’argent qu’il gagnait lui-même. Il participa à des fêtes, des banquets, des ballets où la nourriture, la danse la musique et les femmes lui faisaient tourner la tête. Il se plaisait à se montrer dans de belles tenues d’apparat et à montrer son raffinement en dansant avec les plus belles femmes, au centre de la piste, sous l’œil de tous. Avec cet attrait pour les fêtes, il finit par indéniablement s’approcher de sa mère. Il apprit à connaître celle qui lui avait donné la vie et il regretta de ne pas l’avoir fit plus tôt. Ils discutaient longuement ensemble, parlant de tout et de rien, des récentes fêtes et ce genre de chose. Mais le père de famille remarqua rapidement ce rapprochement. Il finit par se dire que la femme qu’il avait durant une époque aimé était devenue bien encombrante. En effet, il ne ressentait plus rien pour elle depuis plusieurs années et voilà qu’elle se mettait à corrompre son fils si droit ! Il l’a fit éliminé, mais discrètement, par empoisonnement, donnant l’impression d’une mort naturelle. Ainsi Edward crut que sa mère avait été rappelée par Dieu, ce qui fit qu’il accepta cette mort assez rapidement. Il fit un deuil d’une semaine où il resta dans sa chambre, pour prier. Ensuite il cessa d’aller aux fêtes et réceptions habituelles et passa plus de temps à la bibliothèque pour étudier les langues et l’anatomie. Il rencontrait des fois son cousin pour des duels. Mais cela restait rare et l’écart de niveau entre eux c’était encore creusé. Pour préserver sa forme entre les missions il partait souvent à la chasse avec son père et Louis, devenu un ami de la famille. Edward apprit à pister et reconnaitre les animaux à leurs traces pour les chasser à l’épée, à l’arbalète, à l‘arc et enfin il apprit à les dépecer. Il profitait souvent de cette dernière étape pour étudier discrètement l’organisme des bêtes, évitant de se faire remarquer par son père. Un jour lors de ses 24 ans, après 2 ans d’études intensives et de chasse sans mission, il repartit combattre les ennemis de l’Ordre. Il partit avec son père, Louis et 11 autres chevaliers pour faire une enquête préliminaire dans une ville de taille moyenne où l’on avait remarqué des activités étranges. Mais pourquoi l’Ordre y irait me dites-vous ? Patientez un peu bon sang. S’ils y allèrent c’est car ces activités étranges ressemblaient bien aux agissements du culte des bêtes. En effet, de nombreux malfrats recensés dans la ville avaient tendance à disparaitre sans laisser de traces et il y eut même deux cas de kidnappings de bébés. Au départ, les supérieurs de la troupe pensaient à une coïncidence mais peu à peu cette idée leur sortie de la tête voyant que cela ne cessait pas. La troupe d’Edward fut donc envoyé avec comme but de rassurer la population et de chercher des informations. Si il s’avérait qu’il s’agissait bien du culte, des renforts leur serait envoyés. Une fois sur place, les chevaliers se déployèrent dans la ville, effectuant des patrouilles par groupe de 2. Sur le chemin de leurs rondes ils parlaient avec la population, leur disant qu’ils étaient là pour s’occuper de cette affaire et en profitèrent pour convertir quelques badauds. Mais patrouiller à 14 dans une ville, même de taille moyenne, c’est beaucoup trop compliqué surtout que la plupart des enlèvements se faisaient en forêt, alors le père d’Edward fit une demande de renforts immédiat pour pouvoir avancer dans les recherche. Mais c’est là que les choses se corsèrent. Alors qu’Edward et Louis suivaient leur chemin de patrouille, ils virent au sol deux de leurs camarades au sol, le corps recouvert d’entaille et de blessures multiples. Ils foncèrent à leur chevet, ils étaient encore conscients et vivants mais pas pour longtemps.En levant la tête Louis remarqua deux hommes avec de grandes capes noirs fuirent dans les petites rues. Il faut croire qu’ils n’avaient pas effectués de sacrifice depuis un petit moment car ces deux-là n’était pas très rapide. Louis s’élança à leur poursuite sur son cheval, son arbalète pointée vers les fuyards, tandis qu’Edward se chargea de stabiliser l’état de ses camarades au moyen de bandages et pommades. Les blessures étaient multiples mais peu profondes. Une fois cela fait il monta sur son cheval et s’élança à la suite de Louis. Il tourna un petit moment dans les rues malfamées de la ville, suivant le chemin que lui donnaient les passants qui avaient facilement remarqués les étranges hommes en cape noir poursuivis du chevalier en armure blanche sur son cheval. Il arriva dans une impasse et put voir Louis au sol, gargouillant en se tenant la gorge, un des adeptes du culte lui aussi au sol, un carreau d’arbalète dans le crâne et le second adepte cherchant une échappatoire. Cette scène éclairée par la lumière pâle de la lune le fit entrer dans une colère noir. Directement de sur son cheval il chargea l’homme en noir et lui trancha un bras d’un grand mouvement où il mit toute sa rage. L’homme tomba au sol et Edward descendit de son cheval. L’adepte rampait vers l’arrière pour s’écarter d’Edward en criant des suppliques, mais Edward avançait, les yeux fous, controlé par sa rage. L’homme en noir recula jusqu’à être bloqué par un mur et c’est à ce moment qu’Edward utilisa ses connaissances pour planter sa lame dans le coeur de son ennemi du premier coup. Une fois celui-ci mort, il accourut auprès de Louis. Le pauvre chevalier était en bien mauvais état, sa peau étant méchamment entaillée au niveau du cou. Heureusement ni la trachée ni l'oesophage n’étaient touchés, mais il risquait déjà la mort par hémorragie. Edward n’avait plus de bandage et la blessure semblait trop grave pour ça, il ne savait quoi faire alors il se réfugie  dans sa foi et pria pour le salut de son ami. Il croisa les doigts dans un geste de prière, les yeux fixés sur la blessure et il appela Dieu à l’aide. Il le pria de sauver son ami ou d’au moins le soulager dans ses derniers instants et de lui accorder une place au paradis. C’est alors qu’il vit avec stupéfaction la peau des bords de la peau de Louis commencer à se rejoindre avec de fins fils de chaire et les vaisseaux sanguins combler l’espace détruit. Il se concentra alors davantage sur la prière ce qui eu pour effet d'accélérer la guérison. Mais il remarqua rapidement qu’en réalité cela faisait un petit moment qu’il ne prononçait plus de prière mais plutôt qu’il semblait “commander” la chaire de Louis, lui disant comment se mouvoir tout en visualisant pour sauver son ami. Ce dernier tomba inconscient mais grâce à l’intervention d’Edward il était maintenant hors de danger. Edward, sûr d’avoir reçu une bénédiction divine, se mit à attendre que son ami se réveille en allant étudier le corps de ces hommes. Et il fut étonné de devoir utiliser ce mot pour des créatures censées être à la limite du bestial ! . Il eut aussi le temps d’aller retrouver les deux chevalier blessés. Il s’agenouilla à coté d’eux et se concentra de toutes ses forces pour reproduire ce qu’il avait fait avant. Et il réussit ! Il referma les blessures de ses camarades mais au prix d’une immense fatigue. Louis mit 30 minutes à se réveiller après le retour d’Edward à son chevet, suite de quoi les deux chevaliers arpenteront la ville durant encore 20 minutes pour trouver le père d’Edward. Une fois cela fait ils lui racontèrent tout et les deux chevaliers blessés en premier ne comprirent absolument pas comment ils avaient fait pour se soigner sans aide. En effet, Edward et Louis avaient pris la décision de ne rien dire à personne sur ce don que Dieu avait fait au jeune henyelecca. Le groupe, maintenant sûr de la nature de leurs ennemis, envoyèrent une nouvelle demande de renfort et deux semaines plus tard, synonyme de nouveaux kidnappings de malfrats, ils arrivèrent. Les chevaliers venues les aider étaient bien moins nombreux que prévu, les ennemis n’étant pas ceux que la hiérarchie imaginait. Le groupe de chevaliers avait arrêté de patrouiller, ne voyant pas l'intérêt de protéger des bandits. Ils formèrent un camp et les effectifs de l’Ordre ayant doublé, ils effectuèrent un quadrillage de la ville et de ses alentours pour repérer leurs ennemis. Ils tombèrent alors sur une grotte qui semblait être le lieux de réunion de ceux qui n’étaient au final que de simples fous avec des délires de sacrifices étranges. Les chevaliers attendirent, cachés, que ces monstres commencent un rituels, ce qui les regroupa tous dans la grotte. Une fois cela fait, les archers de la troupe se contentèrent de tirer des flèches enflammées de la plus longue distance possible, mettant le feu aux tenues des adeptes de cette secte étrange et causant une grande panique. Les chevaliers s’attendaient à voir ces fous fuir dès leur présence détectée mais les hommes en noir qui n’étaient pas touchés par les flèches restèrent là, à continuer le rituel. Les chevaliers en armure entrèrent alors et coupèrent le rituel en sortant autoritairement les adeptes de la grotte. Une fois dehors ils maitrisèrent et tuèrent même les plus belliqueux. C’était une fois de plus une plus une mission réussie pour le trio et ils commençaient à voir le réputation grandir d’avantage. Ils rentrèrent au Temple avec leur troupe en 2 semaines, prenant le temps en chemin de se restaurer et se reposer. Une fois de retour au Temple, les trois compagnons prirent un temps pour se reposer puis reprirent leurs parties de chasse. Lorsque Louis et Edward y allaient seul, ils en profitaient pour tester les limites de la magie d’Edward. Ils comprirent qu’elle pouvait soigner les blessures, mais pas que. Ils remarquèrent aussi que si Edward pouvait se servir de ce pouvoir pour soigner, il pouvait aussi le faire pour blesser. Et oui car s’il pouvait restructurer des os ou des ligaments, il pouvait aussi les désagréger… et il ne s’en privait pas. Bien sûr il évitait tout de même d’en abuser pour la garder secrète et pour ne pas finir épuisé. Il reprit goût aux fêtes mais ne toucha toujours pas à l’alcool, ne voulant pas altérer le don de pensée que Dieu lui avait offert à la naissance. Il alla aussi accomplir des missions avec son père et Louis dans toutes les terres d’Elaris et même parfois dans d’autres régions.Edward apprit à connaître et affronta de nombreux ennemis différents tel que de simples groupes criminels ou des organisations religieuses armées, hostiles à l’Ordre. Un jour où ils étaient sur présents au Temple, le père d’Edward fut convoqué par la hiérarchie, sous couvert de le féliciter pour ses services rendus avec son groupe. Mais la vérité fut tout autre car en réalité, après 10min de louanges destinées à l’amadouer, il lui fut annoncé qu’il partait avec son équipe et un grand nombre de chevaliers au Nord, aider l’armée d’Elaris contre les invasions de tribus nordiques venant de Caer-Druagh. Edward avait alors 29 ans. Ils furent envoyés avec plusieurs généraux et un grand nombres de chevaliers au front. Une fois là-bas, Louis et Edward découvrir pour la première fois le paysage d’une vrai guerre. Lors de la première année de guerre il se passa relativement peu de choses. Les nordiques avaient eut vent des renforts apportés par l’Ordre blanc ce qui avait refroidi leurs ardeurs. Mais ils n’en restaient pas moins motivés alors au bout de ce statu quo ils repartirent à la charge cherchant à percer le front sur des points stratégiques. Edward et ses compagnons étaient basés sur le chemin d’un de ces points. Il s’ensuivit une bataille sanglante. Les nordiques étaient certes beaucoup moins bien équipés mais ils compensaient par leur nombre et une grande agressivité. ll eut beaucoup de perte des deux côtés mais les soldats de l’Ordre finirent par s’imposer grâce à leurs armes avancés technologiquements. Les armes à feu et armes lourdes de l’Ordre eurent raison des nordiques. Mais ce n’était qu’une bataille et de nombreuses tribus s’étaient alliés pour lancer cette grande offensive. Après cette assaut des forces nordiques au bilan mitigé, les troupes venant de Caer créèrent des camps et la guerre s’enlisa. 3 mois sans combat passèrent mais le mécontentement des soldats impatients commençaient à se faire sentir. Les généraux des deux armées sous pression des politiques et de leurs propres soldats décidèrent d’agir. Ils profitèrent de la baisse d’attention des envahisseurs pour effectuer des attaques sur les camps des nordiques mal-préparés. Enfin c’est ce qu’ils pensaient. Edward, son père et Louis faisait parti du même groupe d’assaut et lorsqu’ils arrivèrent à proximité du camp, ils trouvèrent les nordiques non seulement préparés mais aussi munis d’armes qu’ils n’avaient absolument pas avant. Ils avaient des armes à feu, des parchemins de sorts et ce genre de choses. Les soldats ne s'attendaient pas à cela et ça se ressenti dans les premiers instants de la bataille. Ce fut une boucherie, dans les deux camps les hommes tombaient comme des mouches. C’est à ces instants qu’Edward se demandait si l’intelligence des Hommes étaient vraiment utilisée de la bonne manière. Enfin il n’avait pas vraiment le temps de réfléchir, risquant sa vie à chaque instant comme ses camarades. Il n’hésitait pas à foncer en ppremière ligne sauver ses alliés. Il massacrait avec violence tous les ennemis à sa portée et son armure lui sauva la vie plus d’une fois. Au plus fort de la bataille, son cheval mourut d’une flèche, dans le cou, venant d’un des archers de son camp. Edward eut beaucoup de mal à se relever mais une fois debout il reprit son massacre de masse. Son armure de base blanche était couverte de sang plus ou moins séché et il ne voyait plus vraiment ce qu’il faisait, il se contentait juste de lancer des coups d’épée vers ses adversaires. Avait-il touché certains de ses camarades ? Il ne saurait le dire. Après une heure de combat acharné, les nordiques sonnèrent la retraite, commençant à perdre pied. edward monta sur un endroit légèrement surélevé par le sol et les cadavres et leva son épée au ciel en lançant un cri sauvage, face à ce qu’il restait de son armée. Les soldats lui répondirent de la même manière, évacuant la pression du combat, exultant leur victoire. Les soldats fêtèrent leur victoire quelques minutes dans une grande liesse général avant de prier pour leurs camarades défunts et d’aider les blessés. A coté sur l’estrade, vinrent se placer Louis et son père et ils furent très heureux de se retrouver en vie. Mais la joie fut de courte durée. Déjà le nombre de blessés et de morts était grand mais ils apprirent aussi par des messagers qu’ils étaient un des rares groupes à avoir réussi leur assaut car les autres avaient échoués face au nouvel armement des nordiques.Non seulement il fallait maintenant se débarrasser de l’armée ennemie mais aussi vérifier qu’ils ne recevaient pas l’aide d’autres personnes. Et si ce n’était pas le cas, savoir comment ils avaient fait pour rapatrier aussi rapidement un nouvel armement. Malgré les nombreuses pertes et les nombreux blessés, l’état-major était clair, l’armée devait continuer d’avancer. Les hommes du camp de Spirale se regroupèrent donc pour lancer une nouvelle vague d’assauts. 2 semaines plus tard l’équipe d’Edward et de ses compagnons participait déjà à une nouvelle bataille, cette fois sur un terrain plat et vide entouré de forêt des deux côtés. Les troupes spiraléenes, composée en grande partie de soldats de L’Ordre sur ce front, avait préparée une embuscade aux soldats de Caer ne connaissant que très peu la région. Les soldats spiraléens étaient  cachés derrière les premiers arbres pour les fantassins et plus en arrière pour les cavaliers, chevaliers lourds et archers. Ils chargèrent leurs ennemis sur les flancs une fois ceux-ci bien engagés dans la clairière. Les nordiques, non préparés à cette attaque, furent pris au dépourvu et mirent un temps à réagir. Les soldats de l’Ordre avait une double source de motivation, ils se battaient pour défendre leurs terres et pour venger tous leurs camarades morts lors de la précédente bataille. Les champs de bataille était au début plutôt ordonné mais après une dizaine de minutes, il partit dans un bazard innommable. Des groupes de combat éparpillés s’affrontaient un peu partout, jusqu’à la lisière de la forêt. Dans la désorganisation générale, un groupe de nordiques réussit à se frayer un chemin jusqu’aux officiers de l’armée adverse mais un groupe de soldats composé notamment d’Edward l’avait remarqué alors ils accoururent à l’aide de leurs supérieurs. Mais le temps qu’ils arrivent, le groupe composé des gradés et de leur garde avait été dispersé. Edward sans réfléchir fonça dans la direction de son père qu’il avait vu s’écarter. Edward n’avait plus de cheval depuis la dernière bataille refusant de partir au combat avec un cheval qui n’était pas “le sien”. Sur le chemin il vit au sol des hommes morts ou blessés, des deux camps. Il passa entre les arbres, au-dessus des buissons pour voir son père appuyé sur son épée, mal en point, entouré de cadavres alliés et ennemis. Le père d’Edward déjà plutôt vieux, ne participait plus réellement aux combats physiquement, il était là en tant que directeur stratégique, il n’était donc en fait pour rien dans la mort de ces hommes. Le temps qu’il le rejoigne son père tomba au sol, sans force. En se plaçant à côté de lui, il remarqua que son père avait un carreau d’arbalète dans le flanc, un bras coupé au niveau du coude et des impacts de masse dans son armure. C’était un miracle qu’il ne soit pas mort. Edward tentait tant bien que mal de boucher les blessures, sachant très bien que sa magie ne le sauverait pas au vu de ses blessures et de la fatigue déjà bien avancée d’Edward. des larmes lui montèrent aux yeux tandis que son père lui disait de se calmer et de l’écouter. Il lui dit dans un discours plein d’émotion que c’est lui qui avait fait empoisonner sa mère. Enfin, il voulait avant de mourir que son fils sache la vérité et c’était comme une confession pour lui. Au fur et à mesure des aveux de son père, son visage au départ emplie d’une profonde tristesse, devint de plus en plus inexpressif. Il ressentit un profond vide en lui, comme si il avait perdu une partie de lui-même. Et cette partie c’était sa grande confiance et son admiration en son père. Il entra dans une colère noir et se déchaîna contre son père déjà au bord de la mort. Il lui lui mis des coup de poing métallique en plein visage, lui broyant le nez avec force, mais ce n’était pas suffisant alors il tapa encore plus fort et le métal, brisa les os du crâne du grand général de l’Ordre que fut cet homme. les os craquaient dans un bruit sourd qu’Edward ne percevait même pas. Il continua ses coups jusqu’à ce que le crâne et ce qu’il cachait ne soit plus qu’une bouillie informe et il continua de taper le sol de toutes ses forces. Il se brisa légèrement lui même deux doigts. Ensuite il se releva puis il brisa les os important du corps de son père avec sa magie, incapable de son controler. Il mit quelques coups de pieds dans le cadavre inanimé maintenant présent devant lui avant de se laisser tomber au sol et de pleurer. Il regardera aussi longuement ses mains tachés du sang de son père, celui qui était il y a juste une heure un des plus grand héro que la terre ait compté. Il se releva mentalement épuisé et retourna à la lisière de la forêt pour voir que la bataille était finie. Les nordiques avaient été massacré et seul un petit nombre avait pu fuir. Il ne restait plus que les soldats spiraléens qui ramassaient les corps et qui donnaient les premiers soins aux blessés. Il alla d’une démarche peu assuré aider ses camarades puis il alla raconter la mort de son père, en omettant bien sûr ses actes, aux officiers encore en vie. Lors de cette série d’attaques les envahisseurs avaient étés forcés à reculer sur toute la ligne de front. De plus le système d’espionnage de l’Ordre ayant fait une nouvelle fois des merveilles, des hommes avec des tenues beiges et un sigle représentant un ours de face ont été repéré en train d’amener des caisses remplies d’armes de genre divers dans les camps ennemis. L’Ordre avait maintenant une nouvelle cible à gérer après la guerre. Mais des espions furent déjà envoyés un peu partout dans la région pour tenter de repérer cet étrange association qui aidait leurs ennemis. Mais dans l’état actuel des choses l’armée avait perdu pas mal d’officier et au lieu d’en ramener des bases arrières, la hiérarchie préféra monter en grade directement des soldats déjà présent. Edward eut cette chance et tout en restant simple chevalier dans l’Ordre il devint officier provisoire le temps de cette guerre. Il dû cette promotion à sa vivacité d’esprit et son niveau reconnu par ses camarades lors des précédents combats. Sous sa demande, Louis fut affecté à son équipe. D’ailleurs ce dernier eut un récit détaillé de l’acte monstrueux d’Edward sur son père. Il fut étonné mais sa loyauté sans faille envers son ami l’empêcha de dire quoi que ce soit de négatif. La guerre continua mais l’armée spiraléenne et l’Ordre eurent raison des armées nordiques, de manière vraiment facile si on la compare au début de la guerre. Edward put encore s’illustrer cette fois-ci à un grade plus haut et montra qu’il était capable de commander. Il fut de retour au Temple avec Louis à l’âge de 32 ans. Un conseil s’était alors réuni pour réfléchir sur son cas et c’est alors que les membres de ce conseil décidèrent qu’Edward était apte à obtenir le poste de général de l’Ordre. De plus une place s’était libéré durant la guerre… D’ailleurs le tout nouveau général pensait souvent à son père et à ce qu’il avait fait. Il avait l’impression d’être un monstre. Il ne semblait avoir plus aucune envie. Durant cette période et même après il se passionna pour l’écriture de poème en tous genres. Il en écrivait souvent et ils étaient de plus en plus beaux avec le temps. Puis, une après-midi, il eut une sorte de révélation. Cet état, c’était Dieu qui lui avait insufflé ! Mais bien sûr, il voulait empêcher que ses désirs l’écarte, lui, son plus fidèle serviteur, du droit chemin. Dieu voulait simplement qu’Edward devienne son épée et son enclume pour créer la race parfaite en utilisant sa magie et en repoussant ses opposants en utilisant sa lame. Il sortit alors de sa catatonie légère et regagna le sourire investi d’une nouvelle mission divine. Edward se trouva un nouveau cheval de guerre, tout blanc qu’il nomma Azuria. Il participa alors à de petites missions sans trop d’importance avec des chevaliers sous ses ordres. Il se débrouillait bien alors sa hiérarchie prit confiance en lui et il fut chargé de missions de plus en plus compliquées. Jusqu’à ce que 8 mois après sa nomination de général, il fut envoyé en Moravie du Nord pour retrouver la trace de cette organisation qui avait armé leurs ennemis nordiques lors de la guerre. En effet, les espions de l’Ordre avaient collectés de nombreuses informations sur ce groupe, notamment leur plus grande zone d’influence. Ce groupe était spécialisé dans le trafic d’armes illégales, ils se faisaient appeler “les ours de feu”. Ils ramassaient ces armes sur le corps des soldats morts dans les champs de bataille, dans camps militaires mal surveillés, grâce à des agents infiltrés dans ces mêmes camps. Ils les vendaient ensuite au plus offrant au marché noir. Ils semblaients insaisissable, c’est pourquoi les autorités ont demandé l’aide de l’Ordre blanc. Aide qui ne tarda à venir, commandé par Edward. Une fois dans la région, ils apprirent par leur guide local que si ils voulaient mettre un grand coup au trafic il fallait directement viser les têtes pensantes. Edward mena alors les opérations de ses espions et autres informateurs de loin. Là où il était le plus proche c’était de la population. En effet il était suspecté que certains citoyens pauvres aidaient cette organisation en échange de compensations financières. Il apprit alors sur le tas à mener des opérations de propagandes et à mettre sous pression des individus pour avoir des informations. L’escouade passa 4 mois sur place à glaner des informations de tous les côtés avant d’avoir des informations vraiment concrètes d’un haut placé de l’organisation menacé de mort. Malgré ses activités dangereuses, cette organisation restait très modeste et n’avait pas énormément de moyens. Cette homme préféra alors avouer leur cachette n’ayant pas très peur des représaille. Les soldats de l’Ordre purent alors mettre la main sur un grand stock d’armes illégales. Les activités du groupe en furent impactées et le chef de l’organisation commença à prendre de plus en plus de risque pour rester à flot alors que l’Ordre mettait la main sur de plus en plus de stocks d’armes volées et de haut placé dans l’organisation, plutôt bavard. L’Ordre put, grâce aux aveux d’un des lieutenants du chef de l’organisation, trouver où se trouvait le centre des décisions des ours de feu. C’était un manoir, servant de résidence secondaire à un marchand, en façade honnête, plutôt connu dans la région. Edward et ses hommes les plus aguerris, dont Louis, avaient la mission d’effectuer un assaut sur la propriété tandis que les autres chevaliers devaient arrêter sans violence le marchand pour l’interroger. pour éviter que le marchand ou les têtes pensantes de l’organisation ne fuient durant l’arrestation de l’un des deux, les deux opérations eurent lieux à peu près dans le même temps. Le marchand fut rapidement maîtrisé, se laissant arrêter et avouant qu’il avait accepté de les garder dans sa résidence secondaire en échange d’une part des recettes de leurs trafics. Il fut confié à la garde. Le groupe mené par Edward rencontra plus de difficulté, la bâtisse étant bien protégée et les gardes plutôt nerveux. Ils se frayèrent un chemin tant bien que mal vers le manoir rencontrant une résistance plus farouche à ce point. Des archers et arbalétriers postés aux fenêtres ralentissaient la progression des chevaliers qui devaient avancer tout en se protégeant des flèches de leurs bouclier et en éliminant les rares ennemis sur leur chemin. Une fois dans la bâtisse ils combatirent comme des lions, les membres de l’organisation peu expérimentés tombaient les uns après les autres. Les chevaliers se séparèrent alors en plusieurs groupes au niveau du vestibule pour fouiller toute la bâtisse. Le groupe d’Edward était composé de Louis et de 5 autres chevaliers. En déambulant dans le manoir ils finirent par tomber sur une grande porte laissant présager une salle de grande taille, cachée derrière. Des voix passaient à travers la porte, l’une prenant clairement le pas sur les autres par son ton agressif. Les chevaliers entrèrent dans la pièce d’un coup en enfonçant la porte, surgissant dans la pièce, chargeant leurs ennemis. Alors qu’ils avançaient en courant vers leurs adversaires et que certains des bandits étaient déjà à terre à cause de coups des chevaliers, une grande détonation se fit entendre. Louis fut alors projeté en arrière dans un grand cri. Le chef lui avait rempli le torse d’une gerbe de balles de jolly. Il en mourut sur le coup. Edward savait qu’il était inutile d’aller auprès de son ami alors il fonça ver le chef, évitant ses sbires pour l’empêcher de recharger. Il lui fit un plaquage alors qu’il était en train de relever l’arme pour un nouveau dire. L’arme roula un peu plus loin et Edward assomma le chef d’un coup de poing métallique. Une fois cela fait il alla aider ses camarades a éliminé les derniers sbires menaçants. Une fois la bataille finie, Edward dit à ses hommes d’aider les blessés puis d’aller au secours de leurs alliés toujours en combat. Lui resta auprès de Louis pour prier pour le salut de son âme. Il ressenti une profonde tristesse à la perte de son meilleur ami mais il ne se permettait pas de juger la décision de Dieu et se contenta de lui rendre un dernier hommage. Edward se rappela alors de l’arme du chef. Il alla la ramasser et la regarda dans tous les sens. C’était un jolly avec le sigle de l’organisation gravé sur le manche à but décoratif. “Pas très intelligent” songea-t-il. Une fois l’arme en main il eut un sentiment qui l'apaisa, même qui l’amusa à la vu des cadavres de ses ennemis au sol. Il rangea l’arme et se dit que ce n’était pas plus mal de la garder avec lui. Il retira l’armure de Louis et le porta à l'extérieur. Personne ne l’attendait chez eux alors edward enterra Louis sur place. Une cérémonie religieuse eut quand même lieu entre les chevaliers pour les hommes morts au combat. L’organisation avait perdu tous ses chefs et était maintenant hors d’état de nuir, les chevaliers de l’Ordre purent rentrer chez eux. Tous les malfrats furent confiés à la garde locale. Une fois de retour au Temple, Edward eut de nouveau une période calme, avec de simples missions qu’il qualifiait “de routine”. Il avait bien sûr reçu les félicitations de ses supérieurs mais ces derniers coulaient le préserver pour un autre projet. Il n’avait parlé à personne de sa nouvelle arme. Il ne l’utilisait pas non plus. Il n’avait que 10 cartouches et il ne voulait pas que ça se sache alors il évitait de tirer avec. Il eut bien quelques événements pour le sortir de sa routine, tel que ce jour où, alors qu’il traversait une forêt avec ses hommes pour une mission, une jeune chevalière placée sous ses ordres eut une action qui lui plut. Cette chevalière s’était arrêtée pour fouiller une tanière. cela ralentissait le groupe alors Edward se déplaça pour la presser, plutôt agacé. Elle l’ignora et alors qu’il descendait de son cheval et s’approchait en la menaçant de sanction, elle ressorti de là avec un louveteau blanc dans les mains. Elle lui dit alors avec un ton de défi : “Punissez-moi. J’ai sauvé une vie innocente, mais punissez-moi.” Edward le cacha mais, ce comportement lui plu. il n’en pouvait plus de ces bons petits soldats, incapable de réfléchir et qui ne faisaient que répondre aux ordres. Il la sermonna légèrement et l'avertit tout en réprimant un petit sourire de coin avec difficulté. Elle devait sûrement ne pas tant l’apprécier à cause de cette intervention, mais peu importe. Un jour Edward qui était au Temple fut convoqué. Il reçu une nouvelle mission. Il devait partir pour la Barovie. A côté d’une ville nommé Barovia pour y établir un avant-poste et nettoyer la ville de son impureté. Il accepta de suite, lui qui n’avait jamais contesté sa désignation sur une mission. Il s’équipa alors et partit avec une équipe en direction de Barovia.

Description: Edward est un henyelecca d’1m98 à la carrure musclé. Mais il reste néanmoins fin et svelte. Il a la peau pâle (plus pâle que sur la photo), les cheveux d’un blanc éclatant et les yeux d’un bleu très délavé en parfait accord avec ses cheveux. Une cicatrice lui parcours le visage, du nez jusqu’au bas du visage dans la diagonale de sa joue gauche. Edward est un homme très religieux, il n’y a que peu de choses qui pourraient l’écarter du pieu chemin qu’il se dit suivre. Mais il n’en reste pas moins ouvert d’esprit et sympathique donc tant que vous respectez ses croyances il respectera les votre. Il peut en revanche se montrer très colériques face à une personne qui déplait ce qui fera virer ses yeux au rouge et le rendra difficilement contrôlable. Il se croit investie d’une mission divine donc il n’hésitera pas à expérimenter des manières d’améliorer les corps des êtres vivants sur des sujets toujours conscients. Il a un rapport à la hiérarchie particulier, c’est-à-dire que pour lui il n’y a qu’une limite à ne pas dépasser c’est celle entre l’esprit d'initiative et l’insubordination. Car en réalité l'initiative est une chose qu’il adore voir chez un soldat. Il a du mal à supporter les moutons qui obéissent sans réfléchir. Il a peu à peu repris goût aux fêtes, alors même si il ne touchera pas de verres d’alcool de sitôt, il n’hésite pas à participer à de petites réjouissances si le contexte s’y prête.

Liens: Teisa De Pont-Tranchant et les autres chevaliers de sa troupe

Lieu de résidence: Un camp de l’Ordre qu’il a créé à mi-chemin entre les ruines orientales et la ville actuelle de Barovia

Métier: Chevalier, guerrier, écrivain

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